Lâétudiant qui sâétait immolé lâan dernier pour dénoncer la précarité étudiante est sorti de lâhôpital lâété dernier. Il appelle ses soutiens à lutter pour leurs droits. LâUnion populaire républicaine (UPR) a appris avec horreur lâimmolation par le feu dâun étudiant stéphanois de 22 ans, Anas Kournif, devant le Crous de Lyon le 8 novembre dernier. Depuis l'immolation d'Anas, devant le CROUS de Lyon, les manifestations contre la précarité étudiante se ùultiplient (Paris, le 12/11/2019) ⢠Crédits : Michael Bunel - Maxppp La tentative de suicide par le feu il y a une semaine à Lyon devant le CROUS du jeune étudiant Anas Kournif a provoqué depuis mardi manifestations et blocages. « Une société où lâhôpital est victime de pénuries, câest une société ... Câest peut-être même pire que de la médecine de guerre, parce que là, on ne voit même pas les gens avant de décider sâils peuvent ou non passer en urgence.â « Je préfère partir maintenant plutôt quâà 45 ans épuisé » : un jeune médecin dénonce lâeffondrement du système hospitalo-universitaire (lequotidiendumedecin.fr) 25 % de contrôles en plus : le gouvernement ⦠Anas, militant très engagé politiquement à gauche à l'université, était également très impliqué dans un syndicat au moment des faits. Aujourd'hui, le jeune homme dit "militer moins". "C'est plus lié à une déconnexion progressive au terrain quâà autre chose, distanciel oblige", précise-t-il. L'étudiant n'a toutefois pas abandonné la politique. Ce que lâhistoire retiendra de 2019 Lorsque le temps fut venu dâofficialiser les noms de familles pour chacun, ces appellations ont été conservées par commodité. Anas Kournif, étudiant à Lyon : « Lâimmolation par le feu a été un choix politique » Quelques mois plus tard, la crise sanitaire du Covid est â¦
Humanités, Littérature Et Philosophie évaluation,
Comment Réconforter Son Homme Par Sms,
Météo Mer La Rochelle,
Articles A